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Décès d'Adrien Zeller

 

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LE SITE EN DEUIL

En ma qualité d'administrateur du site et en tant qu'alsacien, je tiens a rendre hommage à Adrien Zeller !

Je le remercie pour ses actions, il n'a jamais abandonné l'Alsace, toujours là pour sa région et ses habitants. La disparition de l'enfant du pays laisse un immense vide à toute l'Alsace qui a perdue un un des ses grands défenseurs. Malgré tous ses mandats, Adrien n'a jamais oublié d'ou il venait, est toujours resté lui même : d'une grande humilité et d'une grande simplicité, toujours proche des alsaciens !

ADRIEN, NOUS NE T'OUBLIERONT JAMAIS !!!

TU AVAIS L'ALSACE DANS TON COEUR, L'ALSACE TE GARDE DANS LE SIEN !!!

Je présente toutes mes condoléances à sa famille et ses proches.

 

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SANTE-OBSEQUES

Le Président du Conseil Régional d'Alsace Adrien Zeller, dont la récupération après son infarctus survenu le 14 juillet dernier se déroulait dans les meilleures conditions, a présenté un nouvel accident cardiaque dont il est décédé brutalement le samedi 22 août 2009 dans l'après-midi à l'âge de 69 ans, en dépit des traitements immédiatement mis en route.


M. Zeller était hospitalisé depuis un malaise survenu le 14 juillet, après une réunion franco-allemande en Forêt-Noire. Il venait de participer à un déjeuner, au cours duquel cet Européen convaincu qui s'exprimait avec la même facilité en français et en allemand, avait rappelé l'importance des relations franco-allemande. 

Hospitalisé d'abord à l'hôpital de Saverne, puis dans le service de cardiologie intensive de Haguenau, l'ancien député-maire de Saverne, qui avait été secrétaire d'Etat du gouvernement Chirac entre 1986 et 1988, avait été placé rapidement dans un coma artificiel. La famille avait cependant refusé de communiquer sur son état de santé, estimant que celui-ci relevait de la sphère privée. Depuis son hospitalisation, le premier-vice président, le Mulhousien Bernard Stoessel, s'était occupé d'expédier les affaires courantes.

Rien ne laissait présager cet accident cardiaque, Adrien Zeller, ayant assumé au cours des dernières semaines sa fonction avec la même énergie légendaire et la même passion qu'on lui connaissait depuis son entrée en politique en 1973, année de sa première élection comme député. Durant les dernières semaines il avait multiplié rendez-vous et participation à des manifestations du nord au sud de l'Alsace, se rendant à de multiples reprises et encore le 13 juillet au soir dans le Haut-Rhin. Récemment, il avait effectué un bref séjour en Corée pour un accord de partenariat impliquant la Région. Pourtant, ses proches l'avaient trouvé plus fatigué que d'habitude. Il s'était d'ailleurs promis de prendre trois semaines de vacances à partir de fin juillet, en compagnie d'Huguette, son épouse.

 

Dès le lundi 24 août, un registre de condoléances sera mis en place en la Maison de la Région au Wacken à Strasbourg et un autre sera mis en place mardi 25 août 2009 au chateau des Rohan à Saverne. Un registre de condoléances est également ouvert sur le site de la Région Alsace.

La cérémonie donnée en l'eglise Notre-Dame-de-la-Nativité à Saverne s'est déroulée mercredi 26 août de 14h30 à 16h, elle a rassemblée plus de 2000 personnes venues dire un dernier au revoir à Adrien Zeller, par solidarité, les commercants savernois ont baissés leurs rideaux durant la cérémonie. Ensuite, Adrien Zeller a été inhumé dans la plus stricte intimité au cimetière de Saverne.

 

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La cérémonie donnée en la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg s'est tenue jeudi 27 août 2009 de 10h à 11h40. Cette cérémonie est disponible en intégralité sur cette page. Plus de 1500 personnes étaient présentes dans la cathédrale dont les gouvernements français, allemand et suisse. Une foule considérable était présente aux abords de la cathédrale.

 

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Depuis le 14 juillet, date de l'accident cardiaque d'Adrien Zeller, Bernard Stoessel (1er vice-président du Conseil Régional) assurait la présidence de la région par intérim.

André Reichardt (UMP) lui succède à partir du 14 septembre. Il a été élu président du Conseil Régional avec 26 voix sur 47. Jacques Bigot (PS) obtient 12 voix, Patrick Binder (FN) remporte 5 voix et Bernard Stoessel (centre) à lui récolté 4 voix.

 

BIOGRAPHIE

Adrien Zeller est né le 2 avril 1940 à Saverne (Bas-Rhin).

Ancien membre du CDS et de l'UDF, il était membre de l'UMP depuis 2002. 


Fonctions ministérielles 
20 mars 1986- 13 mai 1988 : Secrétaire d'Etat chargé de la Sécurité sociale auprès du ministre des Affaires sociales et de l'Emploi du gouvernement Jacques Chirac (2)

Mandats nationaux 
1997-1998 : Député de la 7e circonscription du Bas-Rhin (démission pour se consacrer pleinement à sa fonction de président de région) 
1993-1997 : Député de la 7e circonscription du Bas-Rhin 
1988-1993 : Député de la 7e circonscription du Bas-Rhin 
1986-1986 : Député de la 7e circonscription du Bas-Rhin (démission après entrée au gouvernement) 
1981-1986 : Député de la 7e circonscription du Bas-Rhin 
1978-1981 : Député de la 7e circonscription du Bas-Rhin 
1973-1978 : Député de la 7e circonscription du Bas-Rhin 

Mandat européen 
1989-1992 : Député européen (démission) 

Mandats régionaux 
1996-2009 : Président du Conseil régional d'Alsace 
2004-2009 : Conseiller régional d'Alsace 
1998-2004 : Conseiller régional d'Alsace 
1992-1998 : Conseiller régional d'Alsace 
1986-1992 : Conseiller régional d'Alsace 
1980-1986 : Conseiller régional d'Alsace 
1974-1980 : Conseiller régional d'Alsace 

Mandats départementaux 
1986-1988 : Conseiller général du Bas-Rhin (démission) 
1979-1986 : Conseiller général du Bas-Rhin 
1973-1979 : Conseiller général du Bas-Rhin 

Mandats locaux 
2001-2008 : Conseiller municipal de Saverne 
1995-2001 : Maire de Saverne (Bas-Rhin) 
1989-1995 : Maire de Saverne (Bas-Rhin) 
1983-1989 : Maire de Saverne (Bas-Rhin) 
1977-1983 : Maire de Saverne (Bas-Rhin) 
1974-1977 : Maire de Saverne (Bas-Rhin)

 

Elu pour la première fois, en avril 1996, moins d'un mois après le décès du centriste Marcel Rudloff, dans un duel avec le sénateur RPR Hubert Haenel et grâce à l'appoint des voix des Verts, Adrien Zeller (UDF) avait su, après les régionales de 1998 recréer l'unité de la majorité autour de lui, proposant à son ancien adversaire la 1ère vice-présidence et la commission des transports. En 2002, ce centriste atypique, souvent frondeur, qui avait même conduit une liste régionale dissidente en 1992 contre celle emmenée par Daniel Hoeffel et Marcel Rudloff, avait rejoint l'UMP, à l'instar des autres grands élus UDF. En 2004, il sera même le seul président de conseil régional de droite, avec celui de Corse, alors que toutes les autres régions basculaient à gauche.

Passionné par la réforme des collectivités - il a coprésidé l'Institut de la décentralisation - Adrien Zeller s'est élevé contre les propositions de la commission Balladur, contestant la réforme du mode de scrutin qui allait, selon lui, à l'encontre de la parité et craignant « une cantonalisation » de l'assemblée régionale. Il s'apprêtait d'ailleurs à publier un article critique, pointant les insuffisances de la réforme, tout en sachant ce combat sans doute perdu d'avance. Mais surtout, le président alsacien qui détestait par-dessus tout un certain parisianisme, n'a cessé de prôner une France plus décentralisée, avec moins de doublons entre l'Etat et les Régions. Plus surprenant, « Adrien », comme l'appelaient ses amis, s'était également montré méfiant devant la proposition de fusion des trois collectivités alsaciennes, chère à Philippe Richert. Pour lui, nul ne pourrait passer outre les réticences de nombreux Haut-Rhinois...

Adrien Zeller est parti sans annoncer s'il souhaitait ou non se représenter aux régionales de mars 2010. Sa décision était prise, mais il voulait rester maître du calendrier et l'annoncer en septembre. Son décès ouvre une succession immédiate au sein de l'assemblée, que nul n'avait prévue. Son successeur devra être élu avant un mois. Adrien Zeller laissera à ceux qui l'ont fréquenté le souvenir d'un Monsieur 100 000 volts, agitateur d'idées, capable de hausser de s'emporter, mais adorant la controverse. C'était aussi un homme attachant, simple, n'oubliant pas ses origines rurales, attentif aux autres et à ses collaborateurs, qui s'est beaucoup adouci au fil des années. Comme ses prédécesseurs, il aimait passionnément l'Alsace.    

 

REACTIONS

Roland Ries (maire PS de Strasbourg) "Avec la disparition d'Adrien Zeller, l'Alsace perd l'un de ses plus vaillants défenseurs, un humaniste engagé et un homme intègre, dont l'engagement sans faille et l'esprit d'entreprise ont été mis au service de l'action publique tout au long de sa carrière".

Jacques Bigot (Président PS de la CUS) "J'ai apprécié, dans l'exercice de son mandat de président du conseil régional, son ouverture d'esprit et son refus du sectarisme. La sincérité et la profondeur de nos échanges, notre capacité de débattre et d'agir de concert dans nos responsabilités respectives, le laisseront très vivant dans mon esprit".

Fabienne Keller (ex-maire UMP de Strasbourg) "J'ai très bien travaillé avec lui sur les TGV Est et Rhin-Rhône, sur la gare, sur l'université. C'était un vrai développeur, un homme ouvert au dialogue et formidablement engagé pour cette région à laquelle il avait décidé de se consacrer".

Bernard Stoessel (Président par intérim du Conseil Régional d'Alsace) "C'est une perte terrible pour l'Alsace tout entière et pour notre pays. Adrien Zeller a inlassablement mis son énergie au service de notre région, de la décentralisation et de l'Europe. C'était un homme intègre, un homme de dialogue, d'ouverture, un acteur engagé en faveur des relations transfrontalières dans l'espace du Rhin supérieur. Malgré les nombreuses fonctions qu'il avait exercées, il avait su rester un homme simple, généreux et très abordable par tous ceux qui le rencontraient. Avec sa disparition, l'Alsace vient de perdre un de ses meilleurs serviteurs".

Armand Jung (député PS du Bas-Rhin) confie son "immense peine" face à la mort de M. Zeller dont "la personnalité si particulière" forçait "le respect et l'admiration".

Pierre-Etienne Bisch (Préfet de la Région Alsace) a rendu hommage "au grand alsacien, au grand européen, à l'homme d'une grande créativité et d'une jeunesse d'esprit qui en a fait un leader pendant de longues années en Alsace".

Brice Hortefeux.- le ministre de l'Intérieur a déclaré : « C'est avec une très grande tristesse que j'ai appris la mort du président Adrien Zeller. A sa famille, à ses amis, je tiens à présenter l'expression de mes condoléances et de mes cordiales pensées. Je veux saluer, aujourd'hui, l'engagement européen exemplaire qui a été celui d'Adrien Zeller. Depuis ses jeunes années à la Commission de Bruxelles jusqu'à son action comme parlementaire européen et, surtout, comme président du conseil régional d'Alsace, il a travaillé à renforcer l'amitié franco-allemande au sein d'une Europe unie. Grand serviteur de l'Alsace, il a passionnément aimé sa région, préparant son avenir sans jamais oublier ses racines.  Comme parlementaire, comme membre du Gouvernement et comme président de région, il a été un acteur majeur de la décentralisation, théoricien et praticien audacieux de la répartition des compétences entre l'Etat et les collectivités locales. Au moment où va s'engager le débat national sur l'organisation territoriale de notre pays, la voix d'Adrien Zeller nous manquera.  Toute sa vie, le président Adrien Zeller aura été fidèle aux valeurs humanistes, toujours très attentif au respect de la dignité des personnes. »

François Fillon.- Le Premier ministre "rend hommage à la mémoire de cet Alsacien passionné qui n'a jamais épargné son temps et son énergie pour se mettre au service de nos concitoyens et tout particulièrement des Alsaciens qui lui doivent beaucoup. Il exprime son admiration envers l'homme toujours créatif et ouvert qu'il était. Adrien Zeller laissera le souvenir exemplaire de ce qu'un engagement politique, généreux et désintéressé de chaque instant peut apporter au bien collectif".

Jean-Marie Bockel.- Le secrétaire d'Etat à la Justice et maire de Mulhouse a rendu un hommage appuyé à M. Zeller,«humaniste rhénan» et «président infatigable de la Région Alsace»«Passionné par sa mission en Alsace»«très créatif», Adrien Zeller était «toujours en avance d'une idée», a-t-il encore dit. «Je rends hommage à l'homme politique français, respecté et apprécié de tout bord», a ajouté M. Bockel.

Nicolas Sarkozy.- «Le président de la République vient d'apprendre avec beaucoup d'émotion et de tristesse le décès de M. Adrien Zeller», indique l'Elysée dans un communiqué. Avec Adrien Zeller, les Alsaciens «perdent un grand élu qui a consacré toute sa vie au développement d'une région qu'il servait avec un dévouement et une passion exemplaires», affirme le chef de l'Etat. Il salue également «la mémoire d'un serviteur inlassable et rigoureux de la chose publique» qui a «déployé son énergie, ses capacités et son intelligence à tous les niveaux». Adrien Zeller était «un homme de conviction» et «d'action résolument tourné vers l'avenir» qui «s'est engagé très tôt et sans relâche en faveur de la décentralisation régionale dont il a été l'un des principaux précurseurs et inspirateurs», déclare aussi M. Sarkozy.

Michèle Alliot-Marie.- La ministre de la Justice a salué «l'homme de conviction, d'engagement et l'humaniste».«Européen convaincu, Adrien Zeller a oeuvré et a défendu avec passion la nécessité de la décentralisation tout au long son engagement politique».

Hubert Falco.- Le secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens combattants a salué la mémoire de l'élu.

Nadine Morano.- La secrétaire d'Etat chargée de la Famille a également salué la mémoire de l'élu.

Xavier Bertrand.- Le secrétaire général de l'UMP a rendu hommage à cette «figure forte de la vie politique française»qui «incarnait si bien le centrisme et la droite sociale». Il a également souligné son engagement «au service de l'Europe» et «son attachement à la région alsacienne».

Dominique Paillé.- Le porte-parole du parti a salué «la constance de l'engagement social» d'Adrien Zeller et son«investissement personnel sans limite» pour sa région.

Pierre Méhaignerie (UMP).- Il a également salué «la constance de l'engagement social» d'Adrien Zeller et son«investissement personnel sans limite» pour sa région.

François Bayrou.- Le président du MoDem a rendu hommage au président UMP de la région Alsace Adrien Zeller mort saluant «un esprit original, créatif» qui a «présidé sa région loin de toute idéologie»«C'était un esprit original, créatif, amoureux de sa région, l'Alsace, et des régions, c'est un homme qui a fait son chemin avec beaucoup de liberté, d'indépendance d'esprit». «Il s'est fait élire au début de sa vie politique contre les appareils et il a présidé sa région loin de toute idéologie», a-t-il ajouté. Adrien Zeller «était un créatif concret et à ce titre il était sûrement exemplaire parmi les présidents de région. En plus c'était un homme généreux, bouillonnant d'idées, constamment dans le mouvement et sans aucun doute il manquera à seds amis et à sa région», a conclu le président du Mouvement Démocrate.


Jean-Paul Huchon.- Le président PS de la région Ile-de-France a affirmé avoir perdu «un ami, un partenaire, un complice», saluant en lui «un grand président de région». «Nous n'étions pas de la même famille politique mais nous partagions beaucoup plus : la conviction que chaque jour, à notre place de président de région, nous agissions pour améliorer le quotidien des citoyens et construire l'Europe des régions», a déclaré M. Huchon. «Adrien était un homme de courage, d'humour, de loyauté, et de fidélité. Le pays perd un grand président de région», a-t-il reconnaissant en lui «un ami, un partenaire, un complice».

François Schaffner, président de l'association Culture et Bilinguisme-René Schickele-Gesellschaft.- "Nous venons d'apprendre avec tristesse le décès du Président de la Région Alsace, Adrien Zeller. Membre de longue date, il a œuvré pour la valorisation et la pérennité de langue régionale dans ses deux composantes. Humaniste rhénan, il a ancré l'Alsace dans la modernité, au-delà des clivages politiques. Il vient d'entrer dans l'histoire et nous quitte à un moment décisif pour l'avenir de la langue régionale. Nous garderons sa mémoire vivante et adressons nos condoléances attristées à sa famille et à ses proches."

Anne Meunier, présidente du Modem67.- "Le Mouvement Démocrate du Bas-Rhin tient à exprimer sa tristesse et à saluer la mémoire d'Adrien Zeller, centriste de cœur et d'esprit, européen convaincu et homme de dialogue toujours respectueux du pluralisme démocratique. Figure emblématique et grand défenseur de l'Alsace, il avait su nouer un lien de respect et d'affection avec l'ensemble des alsaciens, son travail incessant sur la décentralisation, son engagement social et européen, le caractère novateur qu'il avait su insuffler à la politique régionale reste un exemple à suivre pour notre famille politique".

Jacques Chirac.- L'ancien président «a appris avec tristesse» la disparition de M. Zeller, est-il indiqué dans un communiqué. L'ancien chef de l'Etat «rend hommage à celui qui restera dans les mémoires comme un Européen convaincu et qui aura, tout au long de sa carrière, comme parlementaire, ministre, président de sa région Alsace, porté avec panache ses convictions au service de nos concitoyens». M. Zeller est mort samedi à l'âge de 69 ans des suites d'un accident cardiaque. Président de la Région Alsace depuis 1996, il avait aussi été secrétaire d'Etat chargé de la Sécurité sociale dans le gouvernement de cohabitation de Jacques Chirac (1986-1988).

Ségolène Royal (PS).- «Je rends hommage au travail et aux très grandes qualités humaines d'Adrien Zeller», a affirmé la présidente de la région Poitou-Charentes dans un communiqué. «En qualité de président de la Région Alsace, j'ai toujours eu avec lui des échanges très constructifs et très fructueux. Il s'est toujours engagé pour les valeurs démocratiques et les principes humains», a ajouté Mme Royal. «Je voudrais témoigner à sa famille mes condoléances attristées, et témoigner du grand respect et de la considération que j'ai toujours eu pour Adrien Zeller, qui encore récemment m'avait adressé ses réflexions quant à sa vision de l'avenir des Régions et de l'idée démocratique qu'il s'en faisait et que je partage», a conclu l'ex-candidate à la présidentielle.

 

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